Gii était en Amérique afin de passé un peu de temps avec ses parents alors je me retrouvais seul ici. Assis à mon bureau, j'étais entrain d'écrire une lettre à Gii. Je venais de la terminé quand mon estomac me rappela à l'ordre. Je pliais donc ma lettre et la glissais dans une enveloppe où figurait déjà l'adresse de Gii en Amérique et celle de notre chambre à l'université. Je fermais l'enveloppe et y collais un timbre avant de la glisser dans mon sac à dos que je mis... Et bien sur mon dos. J'allais mettre mes chaussures avant de sortir de la chambre la fermant correctement derrière moi. Je n'avais pas envie de manger à la cafétéria de l'université. Je décidais donc d'aller en ville et trouvais un petit restaurant de ramens qui paraissait très sympathique. Il y avait déjà pas mal de monde. Je m'installais à une table pour deux qui était libre et commençais à étudier le menu afin de voir ce que je pouvais bien prendre pour le déjeuner.

Alors que je continuais de regardais le menu, je sentis une nouvelle présence près de moi en plus de celle des clients non loin de moi. Je relevais la tête quand quelqu'un s'excusa auprès de moi. Je vis alors un jeune homme peut-être plus jeune pour moi. Il m'expliqua que le patron lui avait dit qu'il ne restait plus que de la place à ma place dont qu'il devait s'y installait s'il souhaitait rester. Il me demanda alors si ça ne me dérangeais pas qu'il s'assoit à côté de moi. Je fus d’abord surpris par le fait qu'il me tutoyer alors qu'on ne se connaissait pas. Mais je ne lui en fis pas la remarque. J'haussais les épaules et lui répondis :

Non. Vous... Tu...

Je ne savais pas si je devais le tutoyer ou le vouvoyer. J'hésitais. Pui je me décidais à faire comme lui.

Tu peux t'asseoir. Aucun problème.

Dis-je en posant le menu sur la table puis je lui tendis une main.

Je m'appelles Takumi Hayama. Et toi ?

Taku se dit qu’il aurait dû partir, ce jeune homme n’avait pas l’air sympathique. Mais il avait accepté, peut être à contre cœur vu la tête qu’il faisait, mais il ne pouvait plus partir, ça serait encore plus mal poli.
Il s’assoit donc en face de lui, serre la main tendu et répond.

- Mizusawa Taku.

Voulant partir au plus vite n’étant pas à l’aise, il prend le second menu et le consulte. A cet instant précis, il regrette de ne pas avoir accepté l’offre de Wataru, il mangerait un omerice délicieux.